Les normes Anti-pollution

Produit naturel de toute combustion le dioxyde de carbone (CO₂) n'est pas toxique, car il est naturellement présent dans l'atmosphère. Cependant le dioxyde de carbone soulève certaines préoccupations car il n'est certes pas toxique, mais, de par sa concentration en augmentation constante dans l'air, il est considéré comme l'un des principaux responsables de l'effet de serre.

Toute combustion s'accompagne d'une production de CO₂, Il représente 15% des gaz d'échappement lorsque la combustion est complète. Cependant sa quantité est fonction de la consommation, et donc, de la motorisation et du style de conduite adopté.

Comme le CO₂, la vapeur d'eau (H₂O) est également un gaz naturel produit lors d'une combustion.

Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz incolore, inodore et insipide qui se forme à la suite de la combustion incomplète de combustibles carbonés due à un manque d'oxygène. Ce gaz est inodore, incolore et mortel si sa concentration dans l'air ambiant dépasse 1%.

Ils proviennent d'une combustion incomplète du carburant. De nombreux composés chimiques sont qualifiés d'hydrocarbures imbrûlés. Selon leur composition, ils sont :

• inodores, ou d'odeur piquante

• irritants pour les muqueuses, d'un effet narcotique ou cancérigène.

Sur l'environnement, ils Provoquent le Smog « Brouillard de fumée »

La formation des oxydes d'azote (par exemple, NO, NO₂, NO₃) est favorisée par une pression et une température élevées, ainsi que par une proportion d'oxygène trop importante lors de la combustion dans un moteur. Les NOx sont nocifs pour la santé, cela peut aller de l'irritation respiratoire au cancer selon l'exposition. Ils sont aussi nocifs pour l'environnement, car ils créent les pluies acides et les brumes jaunâtres.

Leur émission résulte d'une combustion incomplète due à un manque d'oxygène. Le terme « particules » est un terme générique qui regroupe toutes les fines particules solides ou liquides produites par usure, désintégration, érosion, condensation, ainsi que par une com­bustion incomplète. Tous ces processus engendrent des particules de forme, de taille et de structure différentes. Les particules sont considérées comme des polluants atmosphériques à partir du moment où elles sont à ce point petites que ces particules fines pénètrent plus ou moins profondément dans le système respiratoire.

Elles peuvent retenues au niveau du nez et des voies aériennes supérieures (PM10 : diamètre <10 μm) ou elles pénètrent profondément dans l'appareil respiratoire jusqu'aux alvéoles pulmonaires et peuvent passer dans la circulation sanguine (PM2.5 : diamètre <2,5 μm).